aux USA
Plum Island: un haut lieu d'expérimentation donnant la chair de poule
La maladie de Lyme n’a pas toujours existé. Elle a été signalée pour la première fois dans une petite ville dénommée Lyme au fin fond du Connecticut aux États-Unis d’Amérique.
La question est de savoir: pourquoi est-ce qu’elle n’a été observée que si récemment? Des hypothèses sérieuses soutiennent l’implication du gouvernement Américain dans cette affaire.
La Borrélia Burgdorferi : une évadée de laboratoire
Là où la pandémie a commencé
En 1975, les enfants de la petite ville de Lyme étaient en proie à une étrange épidémie. Dans le temps, leurs afflictions étaient considérées comme une arthrite juvénile jusqu’au jour où le chercheur Willy Burgdofer a mis en évidence l’implication d’une affection bactérienne causée par un spirochète de la famille des borrelias, que l’on a baptisé Borrelia Burgdoferi. La maladie de Lyme fût alors observée pour la première fois.
Pourquoi la maladie de Lyme s’est manifestée dans cette contrée ?
La réponse serait toute simple, car la ville de Lyme se trouve à seulement 15 kilomètres d’un laboratoire du gouvernement, le Plum Island Animal Disease Center. Il s’agit d’un centre de tests biologiques qui a mené des expériences basées sur « la contamination de mouches, de moustiques et de tiques avec des germes biologiques ». Ces études étaient sous la responsabilité d’un dénommé Erich Traub. Le gouvernement Américain aurait confié la direction de sa section de recherches sur les armes biologiques à un ex-collaborateur d’Hitler dans le cadre de l'opération Paperclip, ou des milliers de scientifiques nazi furent transférés aux États-Unis pour continuer leurs expériences.
Ces insectes n’ont pas manqué de contaminer les animaux et les personnes qui s’approchaient de cette Île (Plum Island). Ce fut le cas des habitants de Lyme, le berceau de la Borréliose de Lyme.
Le gouvernement Américain est impliqué dans l’histoire
Un tissu de mensonges
Depuis des décennies, le gouvernement fédéral a mené de vastes expériences sur Plum Island. Il s’agissait d’opérations clandestines effectuées par des criminels de guerre Nazis et japonais de la Deuxième Guerre mondiale pour le compte de l’état Américain. Pour les chercheurs qui y travaillaient, la Borrelia Burgdorferi était l’agent de guerre biologique idéal, car elle est capable d’échapper à tous les protocoles de détections des tests de routine. Cette bactérie peut en effet imiter diverses formes de maladies et est aussi difficile à dépister qu’à soigner. Durant de nombreuses années, l’Etat américain a fait croire à ses citoyens que ce laboratoire était un centre de recherche sur les maladies bénignes des animaux d’élevage.
Le laboratoire de Plum Island, une bombe à retardement
Ce n’est qu’en 1993 que cette mascarade a été démasquée par le Newsday. Ce quotidien américain a mis à jour des documents prouvant le contraire des affirmations de l’Etat quant aux activités du laboratoire de Plum Island. Les preuves soutiennent que ce dernier est aussi un centre de recherches d’armes biologiques. C’est une affirmation que le gouvernement a été forcé d’admettre.
Les investigations menées par Newsday ont permis de tisser un lien entre ce laboratoire et l’apparition de la peste du canard Néerlandais en 1967, la maladie de Lyme en 1975, le virus du Nil Occidental en 1999… Ce journal a pu démontrer que ce laboratoire est le foyer de la plupart des germes pathologiques à l’origine des épidémies graves telles que la peste porcine Africaine, la maladie de la vache folle, la fièvre aphteuse, la fièvre du Rift Valley ou l’anthrax…
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