Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

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Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par JiDé » lun. 6 nov. 2017 14:43

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Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF
LE MONDE ECONOMIE | 14.09.2017 à 18h01 • Mis à jour le 01.11.2017 à 11h05

« Le Monde » publie les points de vue d’économistes, juristes, hauts fonctionnaires, syndicalistes, dirigeants d’entreprise… sur les points de la réforme de la fiscalité les plus controversés du projet de loi de finance 2018.

Transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) en « impôt sur la fortune immobilière » (IFI), exonération de la taxe d’habitation, augmentation de la CSG… Le Monde regroupe les tribunes reçues ces derniers mois sur les points les plus controversés des projets fiscaux du gouvernement, alors que le projet de loi de finances 2018 entre en discussion à l’Assemblée nationale.

Faut-il alléger l’impôt sur les grandes fortunes ?

– La « flat tax » ouvre l’investissement en capital à une audience plus large, par Gilles Monat, directeur général de Saxo Banque France. Le banquier salue la réforme de fiscalité du capital comme le « déclic » qui permettra aux Français de changer d’attitude vis-à-vis du financement de l’économie.

– « Le coût de l’optimisation fiscale sur la “flat tax” atteindrait 1 milliard d’euros », et non 10 milliards, par Antoine Lévy (Doctorant au Massachussets Institute of Technology/MIT, Etats-Unis). L’économiste conteste les calculs de Gabriel Zucman, de Berkeley, sur les effets de la réforme de la taxation des revenus du capital pour le budget de l’Etat.

– « Quand MM. Aghion, Cette et Cohen écrivent “la France surtaxe le capital”, ils entretiennent la confusion », par Michaël Lainé. L’enseignant-chercheur en économie à l’EDC Paris Business School et membre du collectif Les Economistes atterrés et membre de l’association de développement des études keynésiennes (ADEK) répond aux arguments de trois de ses collègues, favorables à la réforme de l’ISF et à l’instauration de la « flat tax ».

– « La “flat tax” est une bombe à retardement pour les finances publiques », par Gabriel Zucman, professeur d’économie à l’université de Berkeley en Californie. Le prélèvement forfaitaire unique de 30 % sur les revenus du capital, mesure phare du programme présidentiel d’Emmanuel Macron, va coûter beaucoup plus d’argent à Bercy que le 1,5 milliard d’euros budgétisés, explique l’économiste.

– « Michel Sapin incarne une très vieille idéologie », par Philippe Aghion, Gilbert Cette et Elie Cohen. Trois économistes répondent à l’ancien ministre de l’économie et des finances qui avait critiqué le projet de budget 2018.

– « La réforme de l’ISF va à rebours de notre histoire », par Michel Sapin (Ancien ministre de l’économie et des finances). Pour l’ancien ministre, le projet de loi de finances 2018 s’inscrit par certains aspects dans la continuité de ce qu’a fait le précédent gouvernement. Il remarque aussi que le nouveau régime fiscal est réalisé au profit des plus riches, comme jamais auparavant.

– « La réforme fiscale envisagée est injuste, compliquée et ne favorisera pas le développement économique » par Jean-Pierre Bérard. Le conseiller d’Etat honoraire estime que les réformes de l’impôt annoncées par le gouvernement ne peuvent pas atteindre les objectifs affichés.

– Thomas Piketty : « La suppression de l’ISF, une faute historique ». Dans sa chronique, l’économiste directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, de l’Ecole d’économie de Paris, explique que la fin de l’impôt de solidarité sur la fortune « montre une profonde incompréhension des défis inégalitaires posés par la mondialisation ».

– ISF : « Thomas Piketty est dans la peau d’un simple commentateur, il n’est pas économiste », par Cyril Zimmermann (Président de l’ACSEL, le hub de la transformation digitale et PDG de AdUX) , Gaël Duval (PDG de JeChange.fr et de La French Touch Conference), Marc Simoncini (PDG de Jaïna Capital) et Olivier Mathiot (Président de Priceminister-Rakuten et co-président de France Digitale). Les quatre entrepreneurs apportent un contrepoint à la chronique de Thomas Piketty, publiée dans Le Monde daté 8-9 octobre.

– « Pour relancer l’investissement dans nos entreprises, il faut aller encore plus loin », par Michel Rollier (Président du Conseil d’administration de l’Association nationale des sociétés par actions). Michel Rollier approuve les réformes de la fiscalité sur le capital, mais appelle à faire plus.

– Pour en finir avec le « président des riches », par Frédéric Douet (Professeur de droit fiscal à l’université de Rouen-Normandie). Une contribution fiscale généralisée (CFG) permettrait d’en finir avec l’étiquette qui colle à Emmanuel Macron.

– « L’ISF était un impôt injuste et inacceptable », par Philippe Marchessou (Professeur de droit à la faculté de droit de Strasbourg et avocat). Pour le fiscaliste, la réforme de l’ISF n’est pas un cadeau fait aux riches, mais une correction nécessaire.

– « Abolir l’ISF, c’est dire au monde mais aussi à toutes les fortunes françaises que l’hexagone est propice à l’entreprise », par Jean-Marc Dumontet (chef d’entreprise). La suppression de la taxe sur la fortune qu’Emmanuel Macron prévoit ne ramènerait pas beaucoup d’argent. Pour Jean-Marc Dumontet qui répond, dans une tribune au « Monde », à Thomas Piketty, il cache un changement de paradigme que le président de la République veut mettre en place.

– Budget 2018 : « les ménages les plus aisés bénéficieront de mesures anti-redistributives », par Vincent Drezet (Ancien secrétaire général du syndicat Solidaires finances publiques) et Dominique Plihon (Porte-parole d’Attac). Le projet de loi de finances aura pour principal effet l’aggravation des inégalités.

– « Macron veut supprimer l’ISF, tout en évitant l’affichage politique de la mesure », par Stéphanie Laguérodie (Maître de conférences en économie à l’université Paris-I). En voulant orienter l’épargne vers « l’investissement productif », le projet du candidat dissimule un cadeau aux patrimoines les plus élevés.

– Macron contre la rente foncière ? Pas si sûr…, par Philippe Askenazy (CNRS-ENS-Centre Maurice Halbwachs). Chroniqueur au Monde, l’économiste estime que le président ne compte pas vraiment s’attaquer aux excès de la rente foncière, sources de difficultés pour nombre de Français et délétères pour l’entrepreneuriat et la compétitivité nationale.

– « De l’inégalité en France », par Thomas Piketty. Chroniqueur au Monde, l’économiste de l’Ecole d’économie de Paris s’interroge sur la suppression de l’ISF alors que les différences de revenus ont considérablement augmenté en France ces vingt dernières années, surtout du fait de la différenciation des patrimoines.

– « Un taux unique à 30 % sur les revenus du capital est de nature à relancer l’investissement productif ». Dans un entretien au Monde, l’économiste spécialiste des questions d’inégalités, de taxation et de justice sociale, Alain Trannoy revient sur les réformes en matière de fiscalité sur le patrimoine et ses revenus.

Pour une réforme globale de la fiscalité française

– « Il ne faut pas faire croire qu’en favorisant l’épargne individuelle, on garantira l’investissement ». Pour l’économiste Hélène de Largentaye, la confusion entre « investissement » et « épargne » conduit le gouvernement à se tromper d’outils s’il s’agit d’inciter à investir.

– Ce que la politique économique de Macron doit faire pour « les classes populaires et les classes moyennes », par Jean Pisani-Ferry (Professeur à Sciences Po) et Philippe Martin (Professeur à Sciences Po). Les économistes, anciens contributeurs au programme du candidat Macron, appellent le gouvernement à maintenir le rythme exigeant des réformes pour réussir la transformation de l’Etat et de l’économie.

– « La propriété n’est pas un simple “actif” que l’on peut transférer du bilan des propriétaires à celui de l’Etat », par Drieu Godefridi (Fondateur de l’Institut Hayek, à Bruxelles). Le philosophe libéral s’insurge contre une note de France Stratégie proposant que l’Etat puisse devenir « copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels » pour asseoir son crédit financier.

– La France fait face à « une falaise budgétaire ». Selon Pierre Gruson, professeur de finance à Kedge Business School-Bordeaux, l’étude strictement comptable des finances publiques du pays confirment les inquiétudes légitimes que la dette suscite.

– « Plutôt que le statu quo, le rabot ou les ciseaux », créons un « Fonds souverain » pour gérer la dette, par François Meunier, ancien directeur général de l’assureur crédit Coface. L’économiste propose de profiter des bas taux d’intérêt pour créer un outil dynamique de gestion de la dette publique.

– Comment « intéresser les citoyens à la baisse des dépenses publiques » ?, par Michel Bon, président de Fondact. L’Etat pourrait faire profiter les Français du résultat de son action en leur reversant directement une part des économies de dépense publique qu’il entend réaliser.
– « Les candidats doivent expliquer là où ils veulent moins d’Etat et là où il en faut davantage ». Pour Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités, si le budget public pèse tant dans le PIB français, c’est parce que le pays a fait le choix de répondre collectivement à des besoins pris en charge ailleurs par le privé.

– « Fiscalité : le coût de la complexité ». La complication des démarches fiscales n’est pas seulement coûteuse, elle est aussi l’outil de l’opacité de l’Etat, selon l’économiste Olivier Babeau (Fondation Concorde).

– « Evasion, inégalités, écologie : les « trois défis » de la fiscalité » par Philippe Légé (Les Economistes atterrés). Comment consolider un modèle fiscal apte à financer des services publics de qualité et à réduire les inégalités, dans un contexte marqué par la concurrence fiscale et l’urgence écologique ?

– « Réduire la dette sans attendre de rééquilibrer les budgets publics ». La Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades) a déjà remboursé la moitié du capital dû. Pour François Meunier, ex-cadre d’une grande institution financière publique, pourquoi ne pas étendre le système à la dette de l’Etat ?

Taxe d’habitation : les gagnants et les perdants

– Taxe d’habitation : « Une opportunité de rationaliser les relations entre l’Etat et les collectivités locales », par Romain Perez et Julien Pillot. Les deux coordinateurs du think tank Le Jour d’après, estiment que la suppression de cet impôt doit être le début d’une refonte totale de la fiscalité locale, sous peine d’augmenter les inégalités territoriales.

– « Nous, maires, sommes opposés à la suppression de la taxe d’habitation », par Philippe Laurent (association des maires de France). Le secrétaire général de l’AMF, qui regroupe plus de trente-quatre mille maires, appelle le président de la République à revenir sur sa proposition d’exonérer d’impôts locaux 80 % des habitants.

– « Les communes perçoivent des subventions plus élevées si elles ont un lien avec un ministre », par Brice Fabre (Economiste à l’Institut des politiques publiques (IPP) et doctorant à l’Ecole d’économie de Paris) et Marc Sangnier (Maître de conférence à l’université Aix-Marseille, école d’économie d’Aix-Marseille). Les deux économistes constatent que les subventions d’investissement versées par l’Etat à une mairie s’accroissent de 45 % dès lors qu’un élu municipal devient membre du gouvernement.

Comment taxer les GAFA, la finance et les multinationales ?

– « Il est temps de renverser les seigneurs de l’Internet féodal », par Sébastien Soriano. L’amende infligée par Bruxelles à Google montre que la révolution numérique peut être considérée comme un bien commun, estime le président de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep).

– Google condamné par la Commission européenne : « Assiste-t-on à une offensive contre les multinationales ? » Le chemin vers une véritable régulation des activités des géants monopolistiques sera encore long, selon Laurent Warlouzet, historien de la construction européenne.

- « Taxation des GAFA : l’Italie donne l’exemple ». En obtenant de Google la reconnaissance d’un « établissement stable » dans la Péninsule, Rome a pu prélever l’impôt sur son activité dans ses frontières, note dans une tribune au « Monde » Franck Cazenave, l’auteur de « Stop Google ». Il plaide pour que les autres pays européens fassent de même face aux géants du numérique.

– La taxe sur les transactions financières est « irréaliste » et aurait « un coût irréversible pour l’économie », par Christian Noyer. Le gouverneur honoraire de la Banque de France s’élève contre l’idée d’une taxe sur les transactions financières.

- Taxe sur les transactions financières : « Emmanuel Macron doit cesser son double discours ». Un collectif d’ONG et d’économistes demande au président français de ne pas céder aux lobbies bancaires et de soutenir le projet de taxe porté par dix pays européens.

– La taxation des entreprises est à « réinventer ». La fiscalité des entreprises repose sur des représentations que les mutations économiques ont rendues inopérantes, nourrissant tous les clichés du débat public, selon Erell Thevenon-Poullenec (Institut de l’entreprise).

– Solidarité et compétitivité. Un impôt rénové doit refléter l’interdépendance entre les actifs les plus productifs – exposés à la concurrence internationale – et les actifs qui voient leur revenu stagner, selon l’économiste Vincent Charlet (La Fabrique de l’industrie).

Faut-il une fiscalité européenne ?

– « Pour une fiscalité européenne protectrice ». Pour le juriste Alexandre Maitrot de la Motte l’Europe doit protéger son modèle au lieu d’abandonner ses standards sociaux et environnementaux au nom de la compétitivité.

– « La réforme fiscale ne peut être qu’européenne ». Dans un marché unique, il ne peut y avoir qu’une fiscalité unique. En attendant, alignons-nous sur les meilleures pratiques de nos partenaires, propose l’avocat Gianmarco Monsellato.

– « Les Etats-Unis pourraient devenir le plus grand paradis fiscal de la planète », par Gabriel Zucman, professeur d’économie à l’université de Berkeley (Californie). S’ils ne veulent pas voir s’éroder la base d’imposition de leurs entreprises multinationales séduites par Donald Trump, les pays d’Europe doivent réformer en urgence leur fiscalité.

Paie-t-on trop d’impôts ?

– « Le président devra donner un sens à ce monde en transition et le piloter », par Michel Bouvier, président de la Fondation internationale de finances publiques (Fondafip) et directeur de la « Revue française de finances publiques ». Alors que les défis à venir vont multiplier les missions de l’Etat, l’érosion fiscale et l’évitement de l’impôt diminuent ses moyens d’agir.

– « L’insaisissable justice fiscale française ». Le débat en France oscille entre « faisons payer les riches » et « ras-le-bol fiscal », observent les économistes Jean-Hervé Lorenzi et Pierre-Xavier Prietto (Cercle des économistes). Comment penser un impôt adapté aux réalités du XXIe siècle ?

– « Et si l’impôt nous rendait « heureux » ? Notre consentement à l’impôt est lié à notre vision de la richesse… et du bonheur. Cette perception peut être améliorée par la recherche en économie et en psychologie, selon Alexandre Jost (La Fabrique Spinoza).

– « Sans une politique de cohésion sociale, aucune réforme fiscale ne sera acceptée », par Raul Sampognaro (Observatoire français des conjonctures économiques - OFCE). L’économiste estime que le consentement à l’impôt s’érode en France, non pas tant en raison du niveau de taxation que du sentiment de « payer pour les autres » engendré par la complexité du système.

– « Les Français sont prêts à accepter une hausse de certains impôts si on leur explique clairement ce qui est en jeu », par Gilles Dufrénot, professeur à l’université d’Aix-Marseille et chercheur associé au CEPII. L’économiste estime que le niveau de taxation déjà élevé limitera les marges de manœuvre du futur président.

– « Le niveau de la dette n’est pas un argument pour sacrifier l’investissement public », par Xavier Ragot, président de l’Observatoire des conjonctures économiques (OFCE) et directeur de recherche au CNRS. Pour l’économiste, le niveau d’endettement de la France n’a rien d’exceptionnel. Il est dû à la crise économique, et non au « laxisme » de la gestion publique ; des marges existent pour relancer la croissance.

A lire aussi sur le sujet:

- Sept idées reçues sur l’ISF, par Antoine Reverchon. Au débat suscité par la réforme de l’impôt de solidarité sur la fortune se mêlent de nombreux mythes. Décryptage de quelques-uns par des économistes. Depuis sa création par le gouvernement socialiste de Pierre Mauroy en 1982, l’impôt sur la fortune a suscité polémiques et révisions, qui ont généré mythes et tabous. Alors que se précise la réforme sur l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) lancée par le gouvernement, nous avons demandé à des économistes d’en analyser quelques-uns.

– Taxe d’habitation, CSG, ISF... Ce que le budget 2018 va changer pour vous, par Audrey Tonnelier. Le premier projet de loi de finances du quinquennat Macron mercredi 27 septembre en conseil des ministres contient plusieurs modifications radicales en matière d’imposition.

– Budget 2018 : un pari pour doper la croissance, par Benoît Floc’h et Audrey Tonnelier. L’exécutif a choisi de combiner baisses d’impôts et réduction du déficit, tout en allégeant la fiscalité du capital dans le PLF présenté le 27 septembre.

– Fiscalité : Macron à la recherche du juste équilibre, par Alexandre Lemarié, Cédric Pietralunga et Audrey Tonnelier. A trois semaines de la présentation de la loi de finances 2018, le gouvernement tente de concilier objectifs budgétaires et promesses de campagne, tout en rassurant les retraités, principaux perdants des réformes fiscales.

– Taxe d’habitation : qui seront les bénéficiaires des exonérations, par Audrey Tonnelier.

http://www.lemonde.fr/economie-francais ... 56968.html
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par Kronos » lun. 6 nov. 2017 18:46

J'ai plu qu'à aller mettre mon argent dans des "Paradis PAMPERS" :g335c:
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Message par JiDé » lun. 6 nov. 2017 18:49

@Kronos :mdr2: :mdrr: :lol3: :rires:
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par Hiro » lun. 6 nov. 2017 19:45

:mdrr:

On creuse l'écart pauvre/riche, ville/campagne et votants/non-votants. Bref, on revient 50 en arrière sauf que les actifs cotisent de plus en plus et les retraités reçoivent de moins en moins.
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par JiDé » lun. 6 nov. 2017 19:51

j'vous l'dis moi !!, 1% sur la totalité des gains gagnants sur la bourse Française, et on règle tout les problèmes
on supprime, l’impôt machin, truc, et bidule, Macron !!!!, au boulot !! :peluchon: :peluchon:
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par Zaphale » lun. 6 nov. 2017 19:58

Et puis l'impôt qui rapporte le plus à l’État et le plus injuste, c'est l'impôt indirect : la TVA et assimilé environ 60% des revenus de l’État.
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xs4u, ben dis toi que même si on oublie un cœur, on t'aime quand même et si tu en oublies, on t'en voudra pas :lapbisous:
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par Kronos » mar. 7 nov. 2017 06:58

On est pas le pays le plus taxé au monde pour rien....
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Message par rieur31 » mar. 7 nov. 2017 09:08

je vous donne mon rib

Sauvez " rieur31 du fisc BP 31 " accepte les chèques même de moins de 100euro :boogie: :lol3:
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par Spirou06 » mar. 7 nov. 2017 11:25

Moi j'accepte les chèques de la banque forestière au point ou j'en suis... :e_biggrin: :ok_sors:
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Re: Quinze tribunes pour ou contre la réforme de l’ISF

Message par Grignoux » mar. 7 nov. 2017 18:32

Comme d habitude ils nous balancent de la poudre aux yeux, pendant qu' on parle d un impôt qui représente a peu près 4 milliards si je dis pas de bêtises, ils parlent pas du vrai problème qui est l évasion fiscale des grosses entreprises et particuliers qui doit représenter 80 milliards. Évasion qui est sponsorisée par l état lui même.

L état est actionnaire majoritaire ou minoritaire dans certaines grandes entreprises francaises dont le service comptable se trouve dans des "paradise papers ".Comment ils expliquent ça.

Nos chers politiciens sont tous corrompus,peu importe le côté, droite,gauche,milieu,extrême ils étaient tous assis sur le même banc a l école. C est que du copinage.

L impôt qui rapporté c est pas l isf, mais cette jolie tva a 20% qui tous les jours vide ton porte monnaie,
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